Fertilisation
Technique
Fertilisation azotée : Calculer la dose d’engrais en intégrant une mesure de reliquat à la plantation (mars 2014)
Une nouvelle campagne est sur le point de débuter. L’itinéraire technique de l’année prend forme. La gestion de la fertilisation azotée requiert une attention particulière car elle est l’un des principaux facteurs de production de la pomme de terre. Retour sur les fondamentaux à ne pas oublier.
Cultures intermédiaires : Un éventail d’espèces et de variétés de plus en plus large (Septembre 2013)
Rotation, date et type de semis, mode de destruction… Bon nombre d’éléments sont à prendre en compte pour choisir la ou les espèces de cultures intermédiaires les mieux adaptées. Au-delà de l’obligation réglementaire d’implantation, s’intéresser aux avantages et inconvénients de chacune permettra d’en tirer le meilleur parti agronomique possible.
Optimiser les apports d’engrais P et K (octobre 2011)
Pour des raisons tant économiques qu’écologiques, le raisonnement des apports s’impose, tout en respectant des impératifs de productivité et de qualité. Dans le cadre des bonnes pratiques de production, les apports en composés organiques font l’objet de recommandations techniques, s’appuyant sur les travaux menés par Arvalis sur la pomme de terre.
Gestion de l’interculture et fertilisation azotée (décembre 2010)
En tant que culture de printemps, la pomme de terre va se voir très souvent précédée d’un couvert végétal destiné à piéger le nitrate. Dans quelle mesure peut-on transformer l’obligation réglementaire en avantage agronomique?
Le point sur les modalités d’apport de l’azote (mars 2009)
La fluctuation du prix des engrais azotés et les contraintes environnementales impliquent une optimisation des pratiques pour maximiser l’efficacité de l’engrais apporté, en minimisant les pertes préjudiciables à la production et à l’environnement. Quelle forme d’engrais utiliser ? Quel fractionnement pratiquer ? Quels outils de pilotage adopter ?